L’écho intérieur des expériences

Le langage intérieur de notre corps serait en relation avec une mauvaise gestion des expériences de vie et des émotions engendrées. Cela oriente vers un nouvel angle de vue dans un but de s’extirper de ce qui s’imprime sur notre corps. Poser un regard différent et une conscience sur la réalité de nos expériences cycliques sur lesquelles nous butons, sont une façon d’écouter notre corps.

Les difficultés que nous vivons avec certaines personnes nous renvoient souvent à nos propres difficultés à regarder avec, à la clé, un accès à notre propre cheminement intérieur. Si nous décidons de nous hisser sur ce fil et d’aller à la rencontre de notre complétude, le monde extérieur et nos pensées se mettent en résonnance. Nous sommes nouvellement apte à adopter ce regard intérieur/extérieur par notre volonté et notre observation.

Le témoin de nos blessures

Notre corps est souvent pris à témoin avec la preuve et la reconnaissance de notre souffrance par l’entourage ou le corps médical. L’inscription de symptômes ou de maladie se réfère à un évènement particulier qui a induit et manifesté des nœuds émotionnels complémentaires et parfois à flux tendu, qui se sont congestionnés et cristallisés dans le corps. 

Les émotions négatives prises d’assaut sur l’épreuve vécue vont prendre plus de mesure et, s’inscrivent durablement si l’on ne positionne pas la conscience nécessaire pour déblayer ces émotions figées. Le prisme médical existe dès lors où les symptômes sont manifestes et ils doivent y trouver une réponse médicale. 

En complément ou parallèle, d’autres approches holistiques sont aussi des prismes de possibilités et d’opportunités pour trouver la solution au regard de ce que nous sommes prêts à confronter à notre expérience.  

Quand l’émotion devient douleur

Le Docteur Philippe Dransart homéopathe et phytothérapeute, évoque que “le germe semble présenter une sorte d’affinité pour l’émotion considérée, comme s’il pouvait s’en nourrir, permettant à cette émotion d’y trouver corps et de s’y développer”. Pour lui, la psychologie et le germe semblent intiment liés. Nos lésions seraient aussi à l’image de l’émotion qui les a engendrées.

⚓️ C’est ainsi que les nœuds qui se dénouent sur un plan de la psychologie peuvent en une sorte d’écho se dénouer sur un plan physique. 

Pour exemple : 

• La cystite reflèterait un envahissement dans son territoire issu d’un sentiment d’insatisfaction. On peut donc se poser la question: “où est notre place dans l’espace de vie, …voir peut-être l’aspect conjugal?”
• Les varices seraient des émotions stagnantes avec une lassitude affective ou existentielle. La personne n’aurait plus envie d’avancer ou d’aller vers les autres. Ce serait par conséquent un manque de retour ou une insatisfaction relationnelle au regard de ce que la personne a donné ou bien investie dans ses relations.

Par conséquent, notre corps est touché vis-à-vis des émotions rentrées lors de difficultés. L’impuissance, la culpabilité, la dévalorisation, la peur, la tristesse profonde, les ruminations, la rancune… produisent un écho physique et des points de cristallisation sur une zone où se porte le stress.

Selon le Dr Dransart : ” les causes physiques sont le reflet et le relais de ce qui se passe sur d’autres plans …” Par conséquent, nous somatisons les sentiments complexes parce que nous ne trouvons pas d’autres moyens de nous signifier la douleur.

Trouver la clé de sa transformation

Chaque épreuve porte en elle une clé, un passage vers une conscience plus vaste. Renoncer à ce qui nous enferme, accepter de lâcher prise, c’est ouvrir la porte de la guérison intérieure. Ces failles, ces blessures que nous redoutons sont en réalité des initiations : elles nous invitent à grandir, à nous délester des émotions figées et des liens qui nous retiennent. Lorsque nous choisissons d’entrer dans ce processus, la clé se révèle : elle déverrouille les tensions, libère l’espace intérieur et nous conduit vers un état d’équilibre ou une libre circulation.

Le passage de la croissance intérieure

Accepter de renoncer pour avancer permet de travailler en conscience sur ces failles ou blessures et, de détacher les émotions négatives reliées aux épreuves en question et aux personnes impliquées dans les expériences. Il y a toujours une opportunité de grandir avec ces manifestations. Des maladies ou des évènements nous arrivent pour nous libérer. Et si l’épreuve ne trouve pas de conscience de notre part, les manifestations se feront de plus en plus brutales pour que nous puissions enfin regarder nos failles et travailler notre intériorité et altérité.

Le pardon conscient

La libération des émotions se fait à l’aide d’ un facteur puissant de guérison qui est le pardon. Pardonner la situation, aux autres et à soi-même (pour SOI) permet de se détacher de l’épreuve et ne pas être retenu par des émotions néfastes, qui nous maintiennent dans la maladie ou une sorte d’insatisfaction. Dissoudre les points de tensions interne, trouver son point d’équilibre, se décrocher des personnes impliquées qui nous ont permis cette élévation de conscience, nous libèrent graduellement au fil de l’exercice. De plus, des émotions peuvent se réactiver au bout de quelques mois et, cela nous demande alors de nous réinvestir en conscience pour maintenir l’équilibre et ne pas laisser ressurgir ces mêmes émotions.

L’énergie comme catalyseur de transformation

Les techniques énergétiques permettent d’intégrer et d’activer de nouveaux corps spirituels acheminant de ce fait la compréhension intégrale des expériences de vie et activant entre autres les canaux extrasensoriels, qui sont efficaces et bienveillants, à la lumière de nouvelles ressources (intuition).

A partir d’un accompagnement au rythme du client et également sur les principes de l’énergie, se développe une conscience plus extensible, qui dénote une progression intérieure, une nouvelle composition, redistribution et un état d’esprit positif.

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